Les effets néfastes de la pollution et du stress sur le teint
Quand la pollution urbaine menace notre peau …
Dioxyde de souffre, monoxyde de carbone, particules de poussières en suspension, fumées d’usines, de tabac, plomb, mercure, ozone … La liste des polluants » classiques » en milieu urbain est malheureusement longue. Or ces polluants atmosphériques se fixent sur la peau en se mêlant aux salissures naturelles de la peau, sébum, résidus de maquillage, UV, et accroissent la quantité de radicaux libres produits par l’organisme. Ceux-ci ont pour effet d’endommager les cellules de la peau, de la déshydrater et d’accélérer son vieillissement.
Peaux fragiles ou grasses sont toutes concernées …
En milieu fortement pollué, les peaux sensibles deviennent irritables, rugueuses ternes, et souffrent parfois de démangeaisons. Les peaux grasses elles ont tendance à laisser apparaître des imperfections : brillance, comédons, acné, voire aggravation de certaines dermatoses. Les polluants qui aggressent la peau diminuent en effet sa capacité à réguler son hydratation, d’où un dessèchement chez les peaux sensibles ou l’obsturation des pores chez les peaux grasses. Quelque soit le type de peau, l’épiderme perd de son élasticité, de sa souplesse et de son éclat.
Le stress, un facteur aggravant pour le teint
Citadines, actives, les femmes vivent aussi à 100 à l’heure … Or le stress se manifeste physiquement sur l’organisme : les hormones sécrétées dans ce type de situations provoquent une réduction des vaisseaux sanguins, donc une mauvaise circulation du sang. Troubles de la circulation aggravés par ailleurs par une mauvaise respiration – plus rapide, moins profonde- : le sang véhicule alors moins d’oxygène et en prive donc d’autant la peau. La peau, mal oxygénée, perd de sa fraîcheur , le teint devient terreux … Et des ridules se forment, surtout, si, stressée, on a tendance à froncer davantage les sourcils …