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TPMP sous le choc : Un influenceur condamné pour torture animale dans un scandale sans précédent !

Violences insoutenables, mensonges en direct, chaos médiatique. Alors que TPMP tentait de clore sa saison dans le calme, l’émission est rattrapée par un drame glaçant : Germain R., alias Rop, vient d’être écroué pour avoir martyrisé son chiot. Entre son passage calamiteux sur le plateau et les révélations sordides, plongée dans une affaire qui secoue la France entière.

Un an de prison ferme : le tribunal sanctionne l’horreur

Le verdict est tombé comme un couperet. Reconnu coupable de fractures crâniennes, brûlures à l’acide et privations alimentaires sur son chiot de quatre mois, l’influenceur a écopé d’un an ferme, assorti d’un bracelet électronique pour raisons médicales. Le tribunal d’Argenteuil a également prononcé une interdiction définitive de posséder un animal, répondant à l’exigence de justice réclamée par des milliers de citoyens.

TPMP, le plateau qui a enflammé la colère

En novembre 2024, Germain R. et sa compagne Rocka FrenchRapQueen défendaient leur version sur TPMP, attribuant les blessures à une « chute » et criant au « complot ». Un discours glacial, sans un mot pour la souffrance de l’animal, qui a ulcéré les téléspectateurs. « Ils méritent l’enfer ! », tonnaient les réseaux, dénonçant leur absence d’empathie. Un malaise amplifié par le timing : l’émission, alors en sursis, cherchait-elle le buzz à tout prix ?

Hanouna vs M6 : la guerre des ego en arrière-plan

Dans l’ombre de ce scandale, Cyril Hanouna alimente une autre bataille. Ses piques contre Bruno Guillon (« Je croyais que c’était un tapissier ! ») et ses tensions avec M6 ont détourné l’attention. Alors que des rumeurs le liaient à W9, l’animateur a claqué : « Je reste libre de mes choix. » Un bras de fer médiatique qui interroge sur les priorités des chaînes.

Vague de haine en ligne : « Justice pour le chiot ! »

Sur X, Instagram et TikTok, le hashtag #JusticePourLeChiot a explosé. « Ces monstres doivent subir ce qu’ils ont infligé », exigeaient des milliers d’internautes, réclamant une peine alourdie. Des associations ont salué le verdict tout en dénonçant « l’impunité médiatique » : faut-il limiter la tribune offerte aux accusés ? Un débat brûlant, alors que TPMP a définitivement tiré sa révérence fin avril.

 

Un précédent historique contre la barbarie animale

Au-delà du cas Rop, ce jugement marque un tournant. Les condamnations fermes pour cruauté animale restent rares en France. « C’est un signal fort », souligne une avocate spécialisée. Reste une question : comment éviter qu’un tel drame ne se reproduise ? Alors que les adoptions d’animaux bondissent, les contrôles et la sensibilisation peinent à suivre…

Sources :

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