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Vaccinés, tués, endettés… pour rien : l’implacable constat d’une société en crise

Vaccinés pour rien, tués à la guerre pour rien, endettés pour rien. Ces mots résonnent comme un cri du cœur face à l’absurdité de nos choix collectifs. Alors que les décisions politiques et économiques semblent souvent déconnectées des réalités, un constat s’impose : beaucoup de nos sacrifices ont été vains. Plongée dans une réflexion qui interroge notre présent et notre avenir.

Vaccinés pour rien : le poids des décisions sanitaires

La pandémie a laissé des traces profondes. Confinements, passe sanitaire, vaccinations massives… Mais pour quel résultat ? Des pays comme la Suède, qui ont refusé le confinement, n’ont pas connu de surmortalité significative. Pendant ce temps, notre jeunesse paie le prix fort : dépressions, lacunes scolaires, et un sentiment d’inutilité. Les enfants du CP, CE1 ou CE2, privés d’école pendant des mois, traînent aujourd’hui des retards difficiles à combler. Et tout cela… pour rien ?

Tués à la guerre pour rien : l’absurdité des conflits

En Ukraine, la guerre s’éternise. Des milliers de vies sont sacrifiées, mais pour quelle fin ? La Russie, avec son arsenal nucléaire, reste une puissance incontournable. Les soldats français, eux, meurent sur des champs de bataille lointains, comme au Mali, pour des causes qui semblent éphémères. Ces morts, ces sacrifices, sont-ils justifiés ? Ou ne servent-ils que les intérêts de quelques-uns, bien à l’abri dans leurs palais dorés ?

Endettés pour rien : le fardeau d’une dette colossale

3 400 milliards d’euros. C’est le montant astronomique de la dette française. Une dette accumulée pour sauver des secteurs qui, paradoxalement, se dégradent : hôpitaux qui ferment des lits, écoles qui suppriment des classes, lignes de train abandonnées. La justice, la poste, les tribunaux… tout semble se réduire, tandis que la dette explose. Et pour quoi ? Pour rien. Ou presque.

Une prise de conscience nécessaire

Face à cette spirale, une question s’impose : jusqu’où irons-nous ? Les politiques, comme Emmanuel Macron et ses ministres, enchaînent les décisions sans résultats tangibles. Les guerres, comme celle du Golfe en 2003 ou l’occupation de l’Afghanistan, ont été menées pour rien. Il est temps de dire stop. De refuser de jouer un jeu dont les règles sont truquées.

La résistance au nihilisme

Ce constat n’est pas une invitation au désespoir, mais à l’action. Comprendre que tout cela ne sert à rien, c’est déjà résister. Refuser de se soumettre à l’absurdité, c’est choisir de reprendre le contrôle. Chacun peut, à son échelle, agir pour changer les choses. Car il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Sources :

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