Le Scandale de Miss France 2025 : Une injustice étonnante pour Sabah Aïb ?
Le 16 décembre 2024, une polémique a éclaté sur le plateau de TPMP après l’élection de Miss France 2025. Sabah Aïb, Miss Nord-Pas-de-Calais et première dauphine, a vu sa victoire contestée malgré sa popularité auprès du public. Le débat enflammé autour de sa défaite soulève des questions de discrimination et de mérites. Découvrez les détails de ce scandale qui remet en cause l’intégrité du concours.
Une défaite contestée et un jury remis en cause
Sabah Aïb, favorite du public, a dû accepter sa place de première dauphine après la victoire d’Angélique Angarni-Filopon, Miss Martinique. Un résultat surprenant, puisque le public l’avait largement choisie, mais le jury exclusivement féminin, dirigé par Sylvie Vartan, a opté pour Angélique. Cette décision a immédiatement provoqué une réaction vive de Cyril Hanouna, qui a dénoncé une injustice. Selon lui, c’est au public de décider, et non au jury, qui ne représente qu’une moitié des votes. Il a ainsi suggéré un changement des règles pour garantir que le public ait plus de poids dans le choix de la Miss France.
Les théories derrière cette défaite : Discrimination et inégalités
Sur le plateau de TPMP, les chroniqueurs ont exprimé diverses théories pour expliquer cette défaite. Guillaume Genton a souligné un possible désavantage des jeunes candidates par rapport à des concurrentes plus âgées et expérimentées, comme Angélique. Cependant, Sabah Aïb a balayé cette idée en rappelant que des Miss plus jeunes, comme Indira Ampiot, avaient remporté le concours. L’argument de l’âge, selon elle, ne tenait pas.
Mais ce n’est pas tout. Gilles Verdez a suggéré que la défaite de Sabah Aïb pourrait être liée à des motifs racistes, en faisant allusion à son discours sur son désir de devenir la première Miss maghrébine. Cette suggestion a créé une onde de choc, et les autres chroniqueurs n’ont pas tardé à réagir. Géraldine Maillet a ironisé sur ce que Verdez qualifiait de « grand complot raciste », le qualifiant de n’importe quoi. Un clash qui a définitivement marqué l’édition de TPMP.