Macron à l’école
Sacré petit !
« Le Président Macron visitait une école primaire.
Le professeur a demandé au Président s’il voulait bien mener la discussion autour du mot « tragédie ».
Alors l’illustre meneur demanda à la classe un exemple de ‘tragédie’. Un petit garçon se leva et proposa :
– Si mon meilleur ami, qui vit dans une ferme, était en train de jouer dans le champ et qu’un tracteur lui roule dessus et le tue, ce serait une tragédie.
Le professeur a demandé au Président s’il voulait bien mener la discussion autour du mot « tragédie ».
Alors l’illustre meneur demanda à la classe un exemple de ‘tragédie’. Un petit garçon se leva et proposa :
– Si mon meilleur ami, qui vit dans une ferme, était en train de jouer dans le champ et qu’un tracteur lui roule dessus et le tue, ce serait une tragédie.
– Non, dit Macron, ce serait un accident. Une petite fille leva la main :
– Si un bus scolaire transportant 50 enfants tombait d’une falaise, et que tout le monde serait tué à l’intérieur, ça serait une tragédie.
– Je crains que non, expliqua le Président. C’est ce qu’on appellerait une grande perte.Le silence se fit dans la salle. Aucun autre enfant ne se porta volontaire.
Macron chercha dans la salle.
– N’y a-t-il personne ici qui puisse me donner un exemple de tragédie ?Finalement, au fond de la salle, un petit garçon leva la main… D’une voix calme il dit:
– Si l’avion présidentiel vous transportant était frappé par un tir de missile ami et était complètement désintégré, ça serait une tragédie.
– Formidable !, s’exclama Macron. C’est exact. Et peux-tu nous dire pourquoi ce serait une tragédie ?- He bien, dit le garçon, il faut bien que ce soit une tragédie, car ce ne serait certainement pas une grande perte, et probablement pas un accident non plus ! »
– Si un bus scolaire transportant 50 enfants tombait d’une falaise, et que tout le monde serait tué à l’intérieur, ça serait une tragédie.
– Je crains que non, expliqua le Président. C’est ce qu’on appellerait une grande perte.Le silence se fit dans la salle. Aucun autre enfant ne se porta volontaire.
Macron chercha dans la salle.
– N’y a-t-il personne ici qui puisse me donner un exemple de tragédie ?Finalement, au fond de la salle, un petit garçon leva la main… D’une voix calme il dit:
– Si l’avion présidentiel vous transportant était frappé par un tir de missile ami et était complètement désintégré, ça serait une tragédie.
– Formidable !, s’exclama Macron. C’est exact. Et peux-tu nous dire pourquoi ce serait une tragédie ?- He bien, dit le garçon, il faut bien que ce soit une tragédie, car ce ne serait certainement pas une grande perte, et probablement pas un accident non plus ! »