Contrepèteries
A Beaumont le Vicomte ! (Rabelais)
A force de mouiller les fiches, je suis arrive au fond de la colle
A l’auberge des Deux Reines, le cuisinier entame une vache marginale.
A l’auberge du Congre Debout, j’ai hume les Cotes du cru
A l’auberge du Congre Debout, j’ai senti des rillettes en fut
A l’hôtel du Blé d’Or, il y a de superbes chambres au mois
A l’hôtel du Bon Coucher, j’ai apprécie la poire a la fine
A l’hôtel du Bon Coucher, j’ai goute un vieux marc très doux
A l’hôtel du Bon Coucher, j’ai mange une tourte de cailles
A l’hôtel du Congre Debout, je me suis délecte d’une vieille fine sans dépôt
A l’idée de voir la Chine, la jeune fille est envahie d’une étrange pâleur
A la boutique des Milles Bottes, on solde des tennis de pro.
A la vue des nippons, la Chine se souleva
A quoi bon me pousser pour que je vous trompe ?
A vouloir aller plus vite que le son, vous risquez de vous briser la nuque
Accroupie sur la chaise, elle se chauffe le bras.
Achète, que je rie !
Admirable folle. Il ne lui manque que la paresse.
Admirez donc l’écaille de ces moules
Adjudant, faites bisser l’appel !
Affaissant subitement son broc, le garçon laitier mouilla les fiches de la dactylo et chuta dans la jatte
Ah! Que j’envie votre brasse !
Ah, Monsieur, quel site a votre balcon !
Allons ma fille, essuie ca vite et bien !
Appréciez le tout de mon cru !
Apres avoir débranche, il se laissa couler dans son bain.
Apres avoir observe des piliers de mine, la femme de l’ingénieur affirme qu’un vieux veilleur ne peut être un bon boiseur
Apres les douilles, vidons les carafons !
Au Zambèze, les femmes sont belles et gentilles.
Au couvent, le confesseur s’endort.
Aucun homme n’est jamais assez fort pour ce calcul.
Aujourd’hui, petite Marion, combien rapporta votre quête ?
Aux sites de Bologne, je préfère les mines de Pompéi
Avant de mettre mon ampoule a la douille, j’ai commence par brancher son culot
Avez-vous entendu parler de ces mites qui courent sur les biches ?
Barre se glisse sentencieusement dans la file de ses adeptes.
C’est Dimanche : un coup de vin !
C’est a l’ami que j’offre mon vin.
C’est a la suite d’une fluxion qu’elle a perdu sa sœur.
C’est dans les vieux pots qu’on fait la meilleure compote
C’est en se baignant qu’il l’avait conçu
C’est la discorde dans un ménage quand le beau-père est bouilleur de cru
C’est long comme lacune !
C’est parce qu’elle s’en fout que son mari est mort.
C’est pour moi une sacrée bête qu’un faucon
C’est sur le quai qu’on lave les bidons.
C’est trop de puces pour ce village
C’est un spécialiste du tennis en pension
Ca fait du bien de revoir le vieux lycée Ampère.
Ca m’a tout l’air d’un poids ferreux
Cachée derrière un pilier, elle vit pivoter le sicaire
Campeurs, il faut que vous quittiez ces bâches
Ce beau maillot excitait les foules
Ce camp a été victime d’un coup de semonce
Ce cas de Corée me turlupine
Ce compositeur a abuse des trilles jusqu’aux derniers ouvrages
Ce jeune homme a la mine piteuse
Ce jeune homme danse comme un ballot
Ce jeune homme sortait de l’Ecole des Mines de Paris
Ce n’est pas en tissant qu’on fait les éperons
Ce n’est pas quand vous fachez les eleves qu’il faut leur parler de la lecture
Ce pedant rentre-t-il bien de Nice ?
Ce petit camp n’est pas desagreable a la longue.
Ce pignon a royale mine
Ce roc est plein de confort
Ce sont toujours les bons qui nous quittent…
Ces demoiselles m’autorisent a prendre des ecus dans leurs bas
Ces macaques font malotrus.
Ces satins de jeunes mariees sont pudiques
Ces vastes fouilles n’ont donne que de vieux coutres
Cet enfant de Paris s’est effemine
Cet engin a roulettes est-il decapotable ?
Cet hotel-restaurant propose des rillettes en fut.
Cet oiseau aime bien mettre son nid entre deux bouchons
Cette Berbere a un nom bien Kabyle !
Cette agitation de Novembre accroitra encore notre malheur
Cette crique m’a procure plus d’une bonne trempette
Cette dame jouit d’un nom bien cote
Cette decharge de foudre m’a enleve toute ma poutre
Cette fille a dans la peau un grain de fantaisie.
Cette panne de micro me brouille l’ecoute.
Cette vieille terre est grande ouverte aux militantes
Chaque fois que j’attrape l’angine, je pele
Chaque matin, la petite poule pondait quelque part
Chez la femme, le cou est bien pres du tronc
Chirac a emballe les curistes.
Combien leur faut-il de briques pour qu’elles se taisent ?
Comme d’habitude, on se retrouvera dix apres ce grand concours…
Comment peut-on diner avec si maigre part ?
Compromis, chose due …. (Coluche)
De son amour elle lui cria l’aveu.
De vieux Messieurs bedonnants s’evertuaient sur leurs frites
Depasse par cette lutte, il se retira en soupirant.
Des que l’on touche a son petit banc, l’enfant boude.
Devenu riche a force de peiner, le travailleur roule sur les pepites.
Dinant dans le Perche, j’ai goute la cervelle et la macreuse
Dommage, j’etais en face de la poutre !
Donne moi l’alcool, que je t’en brule dans la cuillere.
Donnez un bon coup de batte a ce Democrite !
Elle a decouvert sa raquette en criant
Elle a lasse la pitie des moines.
Elle collectionne les piles de boites.
Elle demele la corde qu’a pose le marin.
Elle devient completement folle a la messe.
Elle etudiait les mots grecs et s’initiait aux descriptions verdoyantes d’Homere.
Elle hesitait a devoiler son but devant tant de candeur
Elle partit avec un grand salut a la noce.
Elle s’est reveillee avec deux puces dans le cou.
Elles veulent toutes la peau de titine.
En explorant les derrieres d’Asnieres, il s’ecria : Il faut que ca pete sur les pipe-lines !
En quittant le quai, le docker reclama un bidon
Eric, il faut un calme et bon caviste pour eux sept.
Est-ce en riant de Saclay que vous menacez de l’abime notre belle terre ?
Est-ce que les nouilles cuisent au jus de canne ?
Et si je la fetais a la messe, monsieur l’abbe ?
Faire un feu de poutre.
Faster than the speed of night
Grand-pere, vous avez de la mousse a la pistache !
Il court, il court, le furet
Il essaya vainement de prendre la flute de pan.
Il est arrive a pied par la Chine.
Il est defendu aux dames patronnesses de queter sur un pliant
Il est defendu de scier dans le chantier
Il est emouvant de voir le petardier derriere le char
Il fallait bien du courage pour parvenir au but
Il faut au general un troupier pour forcer le pont
Il faut de fortes bottes aux dames de la Piste
Il faut etre peu pour bien diner
Il faut faire attention a l’age du vaccin.
Il faut prendre les choses en riant.
Il faut rassembler beaucoup de fonds pour former des cliques
Il faut retrousser la culotte pour enfiler les patins
Il faut savoir tirer un trait d’un seul coup, explique l’arbaletrier
Il n’est pas difficile de mettre les cheques en valeur
Il n’y a pas de cesse dans cette profession
Il n’y a pas de quoi, ma soeur, pour un si petit don !
Il ne faut jamais basculer sur le terrain de l’enquete, declarait le vieux limier qui n’arretait pas de fumer
Il ne faut pas juger le pichet sur la mine
Il ne veut pas qu’on le chipotte quand il trie.
Il scruta profondement le gars.
Il vaut mieux ne pas trop allaiter la biche
Il y a des residus de pierre dans la saline
Il y a des sites sans bosses
Il y a deux sortes de gendarmes : les courts et les longs
Irresistible attrait de la chine pour le pakistan.
J’ai du tracas jusqu’au cou
J’ai la liasse mon chou, disait la femme en s’abritant sous le jaquemart
J’ai laisse tremper ma botte dans votre citerne
J’ai le nom de la Russe sur le bout de la langue.
J’ai trouve Marion les laissant faire
J’ai un elephant incontrole dans la menthe, s’ecria la directrice du zoo.
J’ai vu les populations laborieuses du Cap
J’aime au sortir du camp une longue peche sous-marine
J’aime vachement ton frangin
J’aimerais prendre mon the avec ces deux pietons
J’aurais cru que vos perles coutaient davantage !
Je donnerais bien ma paie pour avoir votre rubis
Je gemis sans pouvoir lutter …
Je me suis perdu dans la rue du quai.
Je ne banquerai que lorsque j’aurai vu votre don !
Je pleurais parce que tu m’avais promis ton tennis.
Je prefere ce simple anjou au jus de la treille qu’on met en boutique
Je regrette que ce balcon saille
Je tournais vainement ma peine vers mes livres …
Je trouve que Macon a un drole de nom
Jean Luc Les Mouches.
Jean Luc le responsable systeme.
Jean-Luc nous brouille l’ecoute
Jeune homme, ces crampes vous font-elles bouder ?
Jolie pepee, cache ton dos si tu ne veux pas qu’on te jette a la rue
Joseph a macule Henri
L’Afrique est bonne hotesse, mais la canicule n’a rien pour m’emballer !
L’Ecole de Saumur vante ses bons cotes
L’abbe a bien de la peine a tirer un ecu de son tronc
L’abbe confesse l’epicier
L’abbe ne supporte pas la laideur quand il est en cure
L’abbe se dresse en chaire devant ces colonnes
L’aller et retour du Mans lui avait desseche la glotte
L’amoral a des qualites
L’anesse a le feu au derriere
L’arbitre a ete d’accord sur ce but
L’archeologue a fait ceder la stalle de Venus.
L’archeologue mettait le produit de ses fouilles dans des caisses
L’architecte donnerait toutes ces vieilles briques pour une belle lucarne
L’art d’empiler les culottes.
L’artiste a dans son coeur comme un rameau nu.
L’aspirant habite Javel.
L’assistant a une belle paye de cours
L’aviatrice a pendu son fuselage a la cime d’un pin
L’eleveur de colombins expose une paire de males.
L’embaumeur arbore une mine de porc.
L’enfant du peche serait-il mythomane ?
L’ete il fait chaud et beau.
L’etudiante constate la raideur des berges de visu
L’eveque presenta le neophyte, puis l’abbesse
L’eveque rentre sa bete dans l’ecurie
L’eveque tient a etre en cure au plus fort de l’election.
L’haleine empire, dit le dentiste, je vais vous reboucher le tout.
L’hotelier etalait ses carpettes sur la route
L’inspecteur primaire voudrait voir les bons cahiers
L’ivrognesse cuvait quand les flics l’ont emballee.
L’oiseleur se debrouille pour montrer l’appeau des ses cailles
L’ordonnance du capitaine secoue sa caissette jusqu’au camp
L’ouvriere est passive devant la linotype
La Chine se dresse devant les Nippons.
La baronne est folle de la messe
La bergere longea le verger jusqu’a la berge
La bergere s’amuse a voir passer ce pitre
La bible : voila une chose qui me fait bien prier !
La bibliothecaire faisait exposer les Plines.
La bonne epouse connait son du
La bonne menagere bouche les trous de mites
La boxeuse sentait se dilater sa rate a chaque chute
La cantatrice passa, toute en brillants
La cantiniere met son quart au trou du fut
La cantiniere porte une grosse d’oeufs au camp
La commercante a un horrifique benefice
La cuvette est remplie de bouillon
La danseuse s’est retrouvee jusqu’au centre
La douane israelienne n’admet pas les preposes russes
La duchesse n’est pas femme a decouper la biche en trente
La duchesse voudrait voir des groupes de cailles
La fee la plus aimante a toujours la faveur du ciel.
La femme du capitaine a fait mander le marin a bord
La femme du chef de gare m’a laisse le Chaix
La femme du garagiste etait deroutee par mes petits pistons.
La fermiere a des nichoirs en forme de pont
La fermiere sait que sa poule mue, aussi vit-elle aux champs.
La fiancee a deja le choix dans la date.
La filleule a guette en voyant le gros saphir a sa tante.
La footbaleuse s’est couchee sur la touche
La gendarmerie de Saint-Raphael a recours aux adjudants du Var
La jeune beur reve de sites de banlieue
La jeune existentialiste se prete au jeu du neant
La jeune fille agace les roussettes avec ses bouts de pain
La jeune fille contemplait le plan qui venait de la Guinee.
La jeune fille n’avait que ses petits pois pour diner.
La jeune fille ressent la profonde aversion de l’asperge
La jeune fille revint de la ferme pleine d’espoir jusqu’au pont du Jura !
La jeune fille s’etait laissee abusee par les mythes
La jeune informaticienne compilait le C a longueur de journee.
La jeune paysanne reve devant un beau vendeur
La jolie fille habite Laval
La jouvencelle glisse dans la piscine
La laborantine excite le foetus du bout du talon.
La magistrature assise ment debout
La malheureuse s’est tordu l’humerus
La marquise a beche trois allees
La marquise lavait son calecon de satin
La marquise mettait des potions de peur que sa mue ne la perde.
La mathematicienne avoue ne pouvoir travailler qu’avec pi connu
La mere superieure veut voir la belle contrite repenter apres ce badinage.
La mortadelle fut attaquee par les Scipions
La mouche se pose sur le beat.
La mousse d’un blanc rosatre recouvrait la Garonne.
La mule est en route, s’exclama le charretier.
La patineuse tient a faire une escapade sur mes roulettes
La pauvre femme se tordait les mains devant le sinistre.
La paysanne fait la promotion des sports en ferme
La pédicure me mouille les cors
La petite Marion m’a fait un beau papier.
La petite indienne lavait le pis de la vache
La petite nonne aimait les gros bœufs.
La physicienne a un poids qui vaut plus d’une dyne
La physicienne connait bien la force que représente une dyne pure
La poetesse aime les vers belges
La préfète se réjouit de passer des Landes au Gard
La querelle d’Edouard traine en longueur…
La romanciere ne veut pas facher le lecteur
La rosiere songe a la mine orgueilleuse du pere
La sainte nitouche trouve les plus petits delits vicieux
La secretaire remet son calcul de peur qu’on ne la rembarre.
La solitude du contrepeteur coureur de fond !
La squaw caresse la patte de la biche
La travailleuse ne rougit pas d’un cal fecond
La vieille negresse reussit a se nicher dans ses torchons
Le Pied-Noir a fait souche dans le Midi
Le Pont Neuf fait soixante pieds.
Le banquier racole des fonds vereux
Le bouffon de la reine est travaille par un catarrhe
Le bout de la tresse est cache par de pieux voiles.
Le boutre du sultan remonte le confluent de la Garonne.
Le bucheron fendait encore quelques bois et faisait toutes ses billes.
Le campeur decouvre des tentes a foison
Le capitaine dut enfumer sa cale
Le capitaine redoute les proues qui tuent
Le champion jette avec puissance
Le chasseur sous-marin recherche des fonds curieux
Le chic des bottes seduit celles qui cousent les robes
Le chien passe en catastrophe avant que l’on n’habite l’arbre
Le chirurgien amputa une jambe
Le clerc du notaire n’arrive pas a atteindre son but
Le client a laisse un moka dans l’auto kabyle
Le comique a debouche en riant
Le coureur en piste parle a peine
Le cuisinier a un canard sur le feu.
Le cuisinier entame une escalope sur une belle salade.
Le cuisinier se fait des nouilles, encore.
Le cure est fou entre deux messes.
Le decorateur reve d’encoller les murs.
Le depute reservait au senateur une belle collection de piques
Le directeur compte les points des centraliennes
Le directeur contemplait l’affiche molle du publiciste.
Le directeur rentre chez lui, une fois l’ecole verrouillee
Le dompteur montre sa bete a la miss.
Le froid se glisse sous le dock et la jeune ouvriere gemit de froid
Le garagiste a des cales souillees
Le garcon d’honneur a leche le confit d’oie
Le general devint pale a cette nouvelle subite de l’action
Le general sait reconnaitre le cri d’une bonne population
Le grand rabbin ecorchait l’Hebreu, sa femme l’Ecossais.
Le gros Bob ne voulait pas sortir de la zone
Le gros entrepreneur petrit le beton a la tonne
Le haut d’Ecosse est plein de suisses.
Le jardinier a place sa belle serre entre les pins
Le jeune paien avait une mine pas assez pure.
Le jus de sapin apaise mon angine.
Le maire a mis ses elus dans le meilleur camp.
Le maire de Riom a toujours de belles elections
Le maire s’exerce sous la flotte
Le maniement reitere des fonds multiplie les mouvements de caisse
Le marchand avait lese la paysanne en lui retirant sa biquette
Le marin embrasse la Marion sur le quai
Le marin grattait le fond de la quille avec un fer d’herminette
Le marin grattait le fond de sa quille avec le fer de l’herminette et le sechait d’un petit feu de poutres
Le marin grattait le fond de sa quille avec le fer de l’herminette.
Le marmiton veut gouter la sauce
Le marquis caressait le jonc de sa canne.
Le mathematicien s’interesse aux chiffres debiles.
Le matheux se servait en veinard de son pi pour l’appliquer au cas du rond
Le mecanicien nettoie les festons des roues libres
Le medecin n’aime pas que l’infirmiere parte pendant les ventouses
Le membre du jury est assez matheux…
Le mineur au visage pale, qui sortait sa houille de bon coeur, grace a ses piliers de mines, disait a sa femme: « Viens secher ton linge ».
Le ministre est assez ferme quand au sport
Le moine reve d’etre en cure avec une calotte.
Le negre avait une chopine de cola
Le passeur a retire la cle du bac
Le paysan regarde pousser les epis
Le pecheur approcha sa conquete du quai
Le peintre a mis le couchant en valeur
Le pekin est a Nice
Le petit leopard etait fatigue d’avoir trottine.
Le petit vicomte montre sa civilite de facon fort virile
Le philosophe s’interesse a la fiction des elements
Le philosophe veut diner en pensant
Le plomb est bien cote par la Bourse
Le poete qui reve est un neant fecond (Victor Hugo)
Le prefet de Nimes voudrait plus d’ecus pour son Gard
Le president trouve toutes les baisses faisables
Le president va chaque fois a la messe et chaque mois dans la foule
Le president veut des calotins pour les deputes
Le pretre montra sa Vierge derriere le panneau
Le prieur a tire son capuce devant le prefet
Le professeur de chimie nous presente un pepe qui tue.
Le professeur vante la Constitution
Le rugby, c’est l’occasion de sonner quelques berrichons.
Le sage montre son dos au goguenard.
Le touriste admire l’ecusson de la Suisse
Le tout etait trop confus pour laisser une possibilite d’ouverture …
Le tresorier a remarque que les fonds ont diminue et que les caisses restent vides.
Le vent printanier caressait les vitres.
Le vieux Polonais a traverse tous les ponts de Cologne
Le vieux limier qui n’arretait pas de fumer basculait souvent sur le terrain de l’enquete.
Le vieux marcheur veut courir sur le mont
Le vieux sauteur s’accroche au record du bond
Le vieux tailleur vend de la serge
Le vigneron mettait le doigt entre les deux caisses pour boucher le trou du fut
Le volume de vos tresses m’empeche de voir le football
Les Anglaises aiment le tennis en pension
Les Miss beent devant les peniches
Les Normaliens se battaient autour des turnes
Les Polytechniciens s’en lechent dans leurs calculs
Les Russes sont en fetes
Les archeologues s’interessent a de curieuses fouilles.
Les cardinaux ne jettent guere l’habit rouge aux orties
Les concierges sont souvent avides
Les constructeurs du chemin de fer tirerent leur rampe dans la craie
Les corses en pleine fouille.
Les danseurs exhibaient des corps arsouilles
Les disciples d’Einstein voient le monde conique
Les doyens dosent leur part quand ils recoivent des sommes mensuelles.
Les eleves apprennent a calculer en cent lecons.
Les eleves veulent tous avoir un dix a leur composition.
Les enfants de Paris sont minables, il serait bon de ne pas les quitter
Les etudiantes en physique aiment a penser sur la dyne
Les etudiantes reclament des chambres pour leurs maths
Les etudiantes se presentent aux Ponts avec conviction
Les etudiants veulent changer les Maths desuetes de leurs enseignantes
Les femmes se font vite a la vie de la Butte
Les fideles de Chartres aiment les Cenobites
Les filles du vigneron m’ont fait voir leur grange a vin
Les filles passent les Mines avec succes.
Les filles sont sur les dents quand ca barde
Les furies ont des tas symetriques
Les gueules noires portent leur pain a la mine
Les hommes tricotent avec leurs tripes.
Les interrogateurs veulent des bizuths dans le coup.
Les jeunes filles gardent toujours leur coeur pour le vaincu
Les jeunes filles n’aiment guere qu’on leur fasse penetrer les voies de Dieu
Les jeunes hommes s’attachent aux bons cordeliers
Les lievres n’aiment guere la chasse.
Les linges mouillent les cordes en sechant.
Les meilleures pages se font a l’usine.
Les militaires le savent : trop de brochures et l’on est degoute des maths
Les moules se parent a la mue de Novembre.
Les mutins passerent la berge du ravin.
Les nageurs se plaisent en se baignant
Les nageuses ont fait un depart sur le dos
Les ouvriers s’habillent en charpentiers et habitent des gites ignobles
Les parasites brouillent l’ecoute du pilote.
Les paysans caressaient le cou de leurs boeufs
Les physiciens ont mate l’atome.
Les premiers chretiens ont montre leur calvaire a l’unisson.
Les professeurs ont admire le factum du recteur
Les proprietaires de Bordeaux ont de magnifiques hotels
Les pullovers moulent.
Les soeurs se levent au couchant et se passent de pain jusqu’aux matines.
Les spectatrices ne veulent pas qu’on s’ennuie dans la file.
Les starlettes surveillaient le jeu des cures qui descendaient entre deux bains.
Les suedois ont du fer a ne savoir qu’en foutre.
Les vacanciers se battent dans les cabines
Ma belle-mere est enchantee des rossignols du caroubier
Ma femme secoue toujours les mites de mes habits.
Ma muse habite la zone dans le Gabon
Ma pauvre bete n’a pas encore l’age de l’arthrite
Mademoiselle, je vous emboiterai le pas avec conscience !
Mais c’est qu’il serait capable d’emmurer l’ecole !
Mais qu’est-ce donc qui me gratte dans le tympan ?
Manger les pruneaux d’Agen a Venise.
Marinieres, laissez les peniches !
Marquise, je vous confie la chasse
Mefiez-vous de la petulance du flatteur !
Mefiez-vous des dons couteux !
Mon oncle perd courage devant les amas de patentes
Monseigneur a fait venir des lits pour l’eveche
Monsieur l’abbe : convertissez mon pere !
Monsieur, goutez cette farce !
Ne confondez pas la fine et l’epaisse !
Ne laissez pas decider ce bandit !
Ne me quitte pas si pres du but.
Ne menage pas ta peine pour secouer la litiere.
Ne parlez pas de paix au grand Conde !
Ne posez jamais votre dos sur le billard
Ne restez pas dans ce chambranle si vous voulez qu’on se barre !
Ne trouvez-vous pas, Mademoiselle, que les Beaux-Arts sont un plaisir des Dieux ?
Omar craint les scorpions depuis qu’il en vit un sur le porc de Sabine
Omphale ne veut plus qu’on l’embete avec cet Hercule.
On a trop puise dans les fonds d’ecole !
On a trouve si peu de mecs pour faire l’equipe !
On n’est jamais tres fort pour ce calcul !
On n’est pas presse pour diner.
On ne fait pas la lippe quand on peche.
On ne nettoie pas son lit au savon
On peut s’orienter a la faveur d’une sente
On prefere les Bics aux graphites, dans cet institut de sondage
On rit beaucoup dans la machine !
On soupconne le cuisinier de faire des quiches en moins.
Once upon a time I had a girl
Oserais-tu, manant, contester nos particules ? Ces matricules ont une valeur testimoniale !
Oserez-vous soutenir une belle these, monsieur l’ingenieur ?
Ote ta lampe que je guette !
Panne de micro dans la piece du fond.
Patachou.
Patrick aime les mutins: sa mine inspire de la pitie.
Pendant que les athees se battaient, les abbes se taisaient.
Pendant que nous tricotons des patins, au soleil les joues semblent cuire
Permettez-moi d’offrir mon oriflamme a votre fils !
Petites filles, n’approchez pas vos mains de la piste de l’egoine !
Plus elles mentent et plus elle se souillent
Posez donc vos livres sur mon ombrelle.
Pour calmer sa fiancee, il l’apaise en la bercant doucement.
Pour que ce bouquin rende, il lui faut une couverture suggestive
Pourvu qu’ils ne baillent plus dans les cours.
Prenez toujours l’echelle par le bas.
Pure soie de Chine.
Qu’est-ce que les jeunes filles doutent de leur foi !
Quand elle a ses affaires, l’avocate ne veut pas de consoeur dessus
Quand elles sont bonnes, les corrections provoquent leurs rales d’une seule main
Quand il bricole chez le passeur, le butteur se passe de scie
Quand je laisse travailler ma bile, je me sens deteste ; mais quand je suis saoul, je n’ai plus de remords
Quand vous serez pres de la poutre, vous vous laisserez flotter.
Que de fous dans ce Comptoir !
Que de gites la pauvre femme habita !
Que de mites ont perce l’enorme bas de laine !
Que de peine me fait votre malice !
Quel beau metier professeur !..
Quel dommage de laver pareille robe a l’usine !
Quelle admirable beaute de site !
Quelle bouille, s’ecria-t-elle devant lui.
Quelle femme pourrait resister a l’appel de Claudine ?
Quelle joie de se sentir quitte au but !
Ramonez-moi cette valve a fumée !
Retirant le quart de son du, il en perdait sa belle mine
Rien n’est jamais trop beau quand il s’agit de grandeur…
Rien ne plait au matin comme un bon coup de Byrrh
S’il y a des coquilles, c’est a cause des futs.
Salut Patrick !
Savez vous qu’Hebe releve de la mythologie ?
Savez-vous que plus d’un enfant des Pouilles est mort dans la Castille ?
Si ces demoiselles se levent, elles n’ont pas lieu de s’enchanter.
Si j’etais papier, j’aimerais les poncifs
Si le directeur veut retenir l’elite en baisse, il risque de transformer delires en peines.
Si tu ne mange pas mon chou, je ne toucherai pas a tes cailles
Si tu voulais me laisser le pain chaud, je te donnerais ma croute a pate
Si vous etes maries, vous vous plairez a Bandol
Si vous voulez qu’elles goutent, donnez-leur donc des flans
Si vous voulez qu’on se taise, baillez-moi donc une plume !
Simone se rhabille.
Six futs, six caisses, le doigt dans le trou du fut, la main entre les caisses
Soldats, brulez vite ces camps !
Soldats, c’est en dressant vos parts que la cantinière s’est souille les mains
Taisez vous en bas.
Tassid se promene en babouche.
Tejidos y novedades en el piso de encima
The maiden had her soul full of hope
These stunts are cunning
Tous les élèves se taisaient devant le buteur
Toute l’Afrique est dans l’attente.
Toutes ces frites sont bien belles
Tranquillement, le chiffonnier empilait son vieux fer.
Tricotez vous même votre poncho, mademoiselle.
Trop de chaleur rend les frites ébernées
Tu ne peux pas te passer de vaccin dans les régions ou tu es
Un vieux contrôleur n’a pas de vassal
Une forte odeur envahissait la rue du quai
Une grande frite nageait dans son bock
Une masse de perturbateurs envahit l’amphi et tous les bancs furent vides.
Une masse de perturbateurs est venue piller ma fine dans la cave
Une prime de recherche les incite a trouver dans les laboratoires.
Valentine n’aime pas le marc trop doux, en revanche elle aime un bon coup de marc apres une bonne dinette.
Veillez a ce qu’on ne soit pas noyes par les cours.
Venez voir les chambres illuminées
Vise la bête et envoie là vite a l’abbé
Vive la France, malgré la paresse !
Voici, Monsieur le Cure, la bannière demandée
Voila encore deux pinsons de niches !
Vos petites cheves me font penser a la Walkyrie.
Votre compère a l’air d’un saint
Votre orgueil est vraiment démesure, s’écria-t-elle d’un âne effarouché.
Votre poire a un petit gout de terrine.
Votre pose a raidi l’échine
Votre recteur est un grand bonhomme !
Voulez-vous boire ca vite, ou préférez vous un truc doux ?
Voulez-vous compter mon tas ?
Voulez-vous que je vous envoie dans la culture ?
Vous avez a la main, Madame, une pierre fine
Vous avez une bien belle gerbe, Ovide !
Vous ne devriez pas tricher avec ce couple idiot.
Vous ne pouvez pas vous empêcher de vous défiler ?
Vous trouvez ca beau, Magritte ?
Voyez ce caméléon sur le pont !
Voyez donc ces bulles qui sortent de votre valve
Voyez la philanthropie de cet ouvrier charpentier …