Le postier et le guérisseur !
Un postier avec une poupée sur le doigt (il a un panaris) entre dans un bar pour déposer le courrier du jour. Au fond du bar, il aperçoit une lueur rouge qui émane de derrière un paravent. Étonné, il demande au barman:
– Qu’est-ce que c’est que cette lumière rouge et ces paravents au fond du bar?
Le barman lui répond:
– C’est un ami à moi qui travaille là-bas; c’est un guérisseur. Il fait partir des maladies pour lesquelles la médecine traditionnelle est impuissante!
– Oh… Eh bien tu lui paieras un verre de ma part!, répond le postier.
Là-dessus, un maçon entre en boitant dans le bar car il a une ‘patte folle’. Lui aussi demande:
– Que se passe-t-il ici?
Le postier lui répond:
– C’est un guérisseur qui officie là-bas derrière. Il guérit même ce qui ne se guérit pas!
Le maçon dit au barman de lui payer une chope de bière sur son, compte. Un peu plus tard, un routier entre dans le bar en ‘marchant sur des oeufs’; comme tout le monde le regarde interrogatif, il explique que ses hémorroïdes lui mettent les fesses en feu, puis il demande ce qui se passe au fond du bar.
Le barman lui explique ce qui se passe. Alors le routier lui dit:
– Mets-lui une bière sur mon compte alors.
Un quart d’heure plus tard, le guérisseur s’apprête à quitter le bar. Il passe près du maçon et dit:
– Je te remercie pour la bière. Je vois que tu as une jambe qui ne va pas très fort… et il applique ses mains sur la jambe du gars. Une minute plus tard, le maçon est en train se sauter à pieds joints et de courir partout dans le bar
sans boiter! Incroyable!
Juste après, le guérisseur passe près du chauffeur routier. Il applique ses mains sur les hanches du routier… et en quelques secondes, le feu qui lui brûlait le derrière s’éteint! Finalement, le guérisseur arrive au niveau du postier qui s’enfuit en courant et sort du bar comme un coureur de 100 mètres.
Le guérisseur lui crie:
– Qu’est-ce qu’il y a mon gars? Reviens, je peux guérir n’importe lequel de tes maux!
– ‘Justement! C’est pour ça que je me casse!’, braille le postier, ‘Moi je veux être invalide à 100 %!’