Toto et le père Noël
Régulièrement, on vous propose nos meilleures blagues et contrepèteries trouvées sur Internet et les réseaux sociaux. Car, après tout il fait toujours bon de rigoler. Aujourd’hui, vous risquez de bien vous marrer.
Ça se passe pendant la période de Noël. Toto (4 ans) est avec sa maman qui a décidé de l’emmener dans un grand magasin pour qu’il parle un peu au Père Noël.
Ils arrivent et se placent dans la file d’attente. Seulement, Toto est vraiment hyper excité, et il lâche la main de sa maman pour foncer dans le magasin et essayer tous les jouets en libre-service.
Finalement, la maman retrouve Toto sur un cheval à bascule qui traînait par là. Elle le laisse jouer avec deux minutes, puis elle lui demande de reprendre la queue du Père Noël. Mais Toto ne s’en laisse pas compter et il reste sur le cheval. Elle lui promet des friandises, des jouets, des tours de caddie etc… mais rien n’y fait : cette petite teigne de Toto veut rester sur son bidet et tire une langue comme ça à sa mère !
Alors Papa Noël lui-même qui avait regardé de loin ce drame familial se lève de son fauteuil et vient proposer à la maman au bord de la crise de nerfs :
– Peut-être que j’arriverai à persuader votre fils de coopérer…
– Oh j’en doute, mais vous pouvez toujours essayer.
Alors Papa Noël, avec un grand sourire s’avance vers Toto et lui murmure quelque chose à l’oreille.
A la grande surprise de la maman, Toto écarquille les yeux, descend tout de suite du cheval et vient prendre la main de sa maman. Puis tous les deux quittent le magasin sans plus de problème.
Sur la route, la maman curieuse demande à son fils ce que Papa Noël a dit pour le convaincre. Mais Toto ne veut pas parler. A la maison, la maman réitère ses questions mais Toto persévère dans son mutisme.
Finalement, au moment d’aller se coucher, à force de cajoleries, Toto se confie à sa maman :
– Il a dit : « Ecoute bien, sale petit con ! Si tu ne lève pas ton cul de ce cheval pour aller rejoindre ta mère dans la seconde, je vais te filer une torgnole que dans 20 ans tu en pleureras encore ! »