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Scandale autour de Rachida Dati : « Bijoux secrets » et polémique explosive au Conseil de Paris

Gregory

Alors que la ministre de la Culture et maire du VIIᵉ arrondissement de Paris, Rachida Dati, se retrouve au cœur d’une tempête médiatique, ses détracteurs ne laissent passer aucune occasion de la tacler. Entre une enquête fracassante sur ses déclarations de patrimoine et son absence remarquée au Conseil de Paris, la polémique menace de compromettre son image. Détails d’un épisode à haut risque politique.

Le Conseil de Paris : un théâtre de la réplique

Depuis le début de la semaine, le Conseil de Paris a tourné à la provocation. Alors que la loi PLM, dont Rachida Dati est une figure de proue, a franchi un cap législatif, la ministre a préféré rester introuvable. Une absence qui a été immédiatement exploitée par ses adversaires. Ces derniers ont brandi, avec une jubilation évidente, une édition de Libération révélant une enquête explosive : plus de 400 000 euros de bijoux de luxe ne figuraient pas dans sa déclaration de patrimoine à la HATVP.

Rémi Féraud, candidat soutenu par Anne Hidalgo pour 2026, et ses collègues Carine Rolland et Paul Simondon ont ainsi posé en groupe, tenant le journal comme un trophée. « Mme Dati n’est présente que dans nos lectures », a lancé ce dernier, sarcastique.

Libération dévoile un trou béant dans les déclarations

L’enquête du quotidien révèle que Rachida Dati aurait omis de déclarer une partie de ses bijoux de luxe, estimés à plus de 400 000 euros, dans sa déclaration de juin 2024. Une erreur que ses avocats qualifient de « formelle », assurant qu’elle est « parfaitement en règle ». Mais les opposants, eux, voient là une faille majeure. « La crédibilité d’une personnalité politique se joue dans la transparence », a commenté un élu de l’opposition.

 

Sur les réseaux, une communication en mode « distraction »

Face à la tourmente, Rachida Dati a choisi de se concentrer sur des sujets plus « agréables ». Sur son compte X, elle a mis en avant une collaboration culturelle avec le Maroc et l’Égypte, tout en saluant une représentation de Carmen au Théâtre du Châtelet. Un changement de sujet malheureux, alors que l’examen de sa réforme de l’audiovisuel public, un cheval de bataille, a été reporté.

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