Blagues

Un casse-croûte mortel : la blague noire qui secoue les chantiers

Imaginez une pause déjeuner sur un chantier, où trois ouvriers – un Français, un Anglais et un Belge – partagent leurs repas. Ce qui devait être un moment de détente vire au drame dans une histoire aussi absurde qu’hilarante. Découvrez cette blague noire qui mêle humour et tragédie, et qui vous fera réfléchir à deux fois avant de vous plaindre de votre lunch.

La pause casse-croûte qui tourne mal

Sur le chantier d’un immeuble en construction, trois ouvriers prennent leur pause déjeuner. L’Anglais, excédé, déclare : « Si ma femme me fait encore un sandwich au cheddar, demain, je me tue. » Le Français, un peu interloqué, ouvre sa gamelle et soupire : « Oh… merde, encore de la choucroute. » Il ajoute, fataliste : « Si demain j’ai encore le même menu, je te suis… »

Le Belge, quant à lui, regarde son waterzoï et annonce : « Moi aussi, je suppose que je vais me tuer si j’ai encore la même chose demain. » Une promesse lourde de conséquences.

Le lendemain, midi sonne à nouveau. L’Anglais ouvre son sandwich et s’exclame : « Damn it ! Encore du cheddar ! » Fidèle à sa parole, il saute du haut de l’immeuble. Le Français, découvrant une nouvelle portion de choucroute, décide de suivre son collègue. « Attends-moi… », dit-il avant de sauter.

Le Belge, lui, ouvre sa gamelle avec appréhension. « Oh. Du waterzoï. » Il hésite, puis se résigne : « En fait, je ne veux pas mourir, mais une promesse est une promesse… » Et il saute à son tour.

À l’enterrement, les trois femmes échangent leurs regrets. L’Anglaise murmure : « Si seulement je ne lui avais pas fait de sandwich au cheddar, il serait encore avec nous. » La Française ajoute, les larmes aux yeux : « Le mien aimait le thon. Pourquoi ne lui ai-je pas préparé des sandwichs au thon… c’est ma faute… »

La Belge, perplexe, conclut : « Je ne comprends pas. Il a toujours insisté pour faire lui-même ses propres sandwichs. »

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