Blagues

Les trois guerriers dans le train Marseille-La Garrigue

Les voyages en train réservent parfois des rencontres inattendues et des histoires mémorables. Dans le train Marseille-La Garrigue, deux joyeux lurons décident de raconter leurs exploits de guerre, mais la réponse de leur voisin va les surprendre. Plongez dans cette anecdote savoureuse qui respire l’humour provençal.

Quand Marius et Olive racontent leurs « blessures de guerre »

Dans un wagon animé, Marius et Olive, connus pour leur goût des blagues, décident de tester leur voisin d’en face. Marius commence :

– À la guerre, j’ai reçu un obus sur la jambe. C’était terrible ! J’ai eu la jambe coupée jusqu’en haut de la cuisse. Heureusement, comme j’avais du fil dans ma poche, je me la suis recousue moi-même. Regarde, aujourd’hui, je marche comme tout le monde !

Olive renchérit, sans se laisser impressionner :

– C’est rien, peuchère ! Moi, c’est ma tête qu’un obus a emportée. Dans le noir, je l’ai cherchée, je l’ai retrouvée, et je me la suis remise en place !

Face à cette avalanche d’histoires rocambolesques, leur voisin reste impassible. Déçu par l’absence de réaction, Marius décide de l’interpeller :

– Vous avez fait la guerre, vous aussi, monsieur ?

– Oui, oui, répond l’autre calmement.

– Et vous n’avez pas été blessé ? Le voyageur lève alors les yeux et répond avec un aplomb déconcertant :

– Peuchère, qu’est-ce que vous me dites ? Moi, j’ai été tué sur le coup dès la première journée !

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