Un voyage en taxi peu commun
Parfois, les rencontres les plus ordinaires peuvent donner lieu à des moments inattendus et surprenants. Cette histoire raconte l’échange inhabituel entre une religieuse et un chauffeur de taxi, révélant des vérités cachées et des émotions profondes. Une narration pleine de rebondissements qui captivera votre attention jusqu’à la fin émouvante.
Une chute inattendue !
Une religieuse monte dans un taxi pour se rendre en périphérie de la ville. Pendant le trajet, le chauffeur ne cesse de jeter des coups d’œil insistants dans son rétroviseur, manifestant une certaine nervosité. Visiblement, quelque chose le trouble profondément.
Après quelques minutes de silence, le chauffeur s’excuse : « Je vous prie de m’excuser si je vous regarde comme ça dans mon rétroviseur, ma sœur, mais j’aimerais beaucoup vous poser une question, et pourtant, je ne voudrais pas vous offenser… »
La religieuse, souriante, répond calmement : « Allez-y mon fils, n’ayez pas peur, il n’y aura pas d’offense. Vous savez, nous ne vivons pas recluses dans notre couvent à nous boucher les oreilles et à fermer les yeux. Nous pouvons tout entendre ! »
Le chauffeur, visiblement soulagé, commence à se confier : « Eh bien voilà, j’ai toujours eu un fantasme… J’ai toujours désiré secrètement qu’une religieuse… Oh que j’ai honte… j’ai toujours souhaité me faire quelque chose par une religieuse… »
La religieuse rougit légèrement mais reste calme : « Eh bien, voyons ce que nous pouvons faire pour vous. Tout d’abord, êtes-vous célibataire ? Et deuxièmement, êtes-vous catholique ? »
Excité, le chauffeur répond rapidement : « Oui, je suis célibataire ! Et je suis catholique aussi ! » Avec un sourire espiègle, la religieuse lui demande de trouver une petite rue déserte pour poursuivre la conversation.
Le chauffeur conduit le taxi dans une impasse abandonnée. Là, la religieuse comprend rapidement le désir du chauffeur. Alors qu’il reprend la route pour l’amener à sa destination, il fond en larmes. « Pourquoi pleurez-vous comme ça ? » lui demande-t-elle.
« Oh ma sœur, pardonnez-moi. J’ai pêché, je vous ai menti : je suis marié et en plus, je ne suis pas catholique », avoue-t-il. La religieuse, avec compassion, lui répond : « Ce n’est pas grave. Nous avons tous nos petits mensonges… Moi, par exemple, je m’appelle Kévin et j’ai rendez-vous à une fête costumée pour Halloween ! ».
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